SONT- ILS HEUREUX MALGRE LES GALERES ?

A écouter les politiques,il faut réformer notre société et faire en sorte qu'elle soit plus dynamique en enlevant les freins qui l'empêche d'évoluer. C'est un point de vue de gens à l'aise et qui n'ont pas de pensées pour tous ceux qui souffrent de la pauvreté. Quand on a du mal à gagner sa vie,il faut que la société soit stable et sereine. Mais le problème est que les décideurs ,grands et moyens, ne sont pas touchés par cette pauvreté. Pourtant, la paupérisation est un phénomène qu'aucun gouvernement n'a voulu corriger et qui progresse chaque année . Les pauvres de cette années sont ceux qui l'année dernière étaient encore accrochés au train. Puis, les effets économiques tirant toujours vers le haut le système, ils sont entrés en les difficultés. Dans une société comme la nôtre,il faut pouvoir payer son loyer ou sa mensualité de son logement. Il faut y rajouter le coût de l'eau et de l'électricité. A cela s'ajoute les diverses assurances de couverture et les divers contrats en cours. Le reste de l'argent va pour alimenter les enfants et leurs frais d'école. Enfin, le poste nourriture est également primordial et celui des transports semble inévitable. Si nous avons une voiture ,se greffe son amortissement et ses frais annexes avec l'entretien, son assurance et l'énergie carburant. Et là,je ne parle pas des sorties et distractions ,car ce n'est plus possible.

Les gens qui se trouvent en ces situations sont ceux qui seront en la pauvreté d'ici quelques années. Quand vous êtes vieillissant et à la retraite,il faut pouvoir vivre sans excès , mais aussi avec privation sur le superflus.Les retraites ne sont pas réévaluées et nous constatons que l'inflation fait monter tous les prix ,sauf ceux des retraites. Ce qui est grave ,car chaque année une érosion se fait et nous place en les difficultés. Il faudrait pour vivre sans privations ,occuper un emploi en double de sa retraite. Ce n'est pas normal ,car c'est prendre le travail d'un plus jeune et puis à soixante-dix ans on a des points faibles et le corps restreint ses possibilités. La résistance à un travail,même léger, peut devenir difficile et puis les sociétés qui font travailler leurs retraités ,maltraitent souvent leur jeunesse en les faisant travailler très tôt. Nous devons donc faire très attention pour que la vie soit autre chose qu'un temps de travail et un repos inexistant en le grand âge. Nous ferons très attention aux droits sociaux car c'est par eux que naît une plus grande qualité de la vie.

La jeunesse et l'adolescence se doivent d'être protégés et ensuite le repos des admis à la retraite donnée. La vie des hommes doit trouver quelques satisfactions et s'organiser afin de laisser un peu de bonheur d’exister ,car ce n'est pas du superflus.