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Lancé par une forte dynamique humaine,le monde ne peut freiner sa course à l'exploitation des ressources. Les pays émergents accélèrent leur capacité d'exploitation car il ressort qu'ils ont un temps de retard. Le monde rentre dans une grande fébrilité oubliant que nous devons freiner notre dynamique. Celle-ci est bien trop forte et nous devons , non pas la stopper brutalement ,mais la freiner. Si dans le monde chaque pays devient raisonnable,nous obtiendrons vite une réponse de notre climat. Il va falloir calmer notre tout voitures et camions et même avions avec tous les moteurs thermiques et innover an adaptant des moteurs électriques ou solaires. Ceci est valables pour les poids lourds également qui ont des capacités polluantes encore bien plus grandes. Nous devons être attentifs au développement des chimies qui maltraitent la biologie terrestre. Les grands groupes industriels ou multinationales ne sont pas prêts à faire un pas en avant en le sens d'une non pollution. Nous devons changer nos lignes directrices , mais trop de pays se moquent de ce constat d'une dégradation importante de notre atmosphère et appauvrissement de notre biosphère. Il nous faut vite prendre conscience de ces difficultés qui heurtent de plein fouet nos conditions d'un bien vivre en nos sociétés douillettes et actives. Pourtant, nous savons que rien n'est jamais acquis et nous dormons sur nos deux oreilles en guise d'anesthésie. Depuis les années 1960 sont apparus les résidus des pollutions,mais à cette époque , il n'y avait pas encore de chimie développée. Celles-ci ne sont mentionnées qu'en les années 1975-1980. IL est vrai que l'agriculture se développait par la multiplication des grandes fermes aux surfaces conséquentes. Ceci permettait l'emploi des pesticides et fongicides à grande quantité. De plus, les pluies lavaient les terres et en se dirigeant vers les rivières appauvrissaient la biodiversité ambiante. L'eau des pluie lavait la terre souillée par l'homme et ainsi les molécules se dégradaient. Le cheptel poisson était atteint dans ses reproductions et les espèces périclitaient. Les brumes ,les brouillards ,la neige,lavaient l'atmosphère et rejetaient sur la terre toute cette pollution qui flottait. Une fois de plus, c'est le peuple de l'eau qui accuse le coup et même les mers et océans sont touchés. Les climats élaborés en les zones d'échanges thermiques sont contrariés et les zones habituelles changent définissant des modifications climatiques dès la naissance des zones de hautes et basses pressions.Ainsi ce dérèglement engendre des zones de turbulences extrêmes entraînant au niveau des terres des violences destructrices. Comme remède contre ces violences , il faudra nous protéger et envisager de construire sous terre en des galeries aménagées. Rien de bien gai,mais nous n'y sommes pas encore,seulement nous réfutons l'idée d'une dégradation terrestre. Quand nous aurons compris le processus dégradant,il sera trop tard et nous n'aurons plus de rémission.

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