UNE AUTRE CONCEPTION DE NOS SOCIETES ,

A cette grande question, je répondrai oui ! IL n'est jamais trop tard pour bien faire . Le plus difficile se trouve dans la possibilité de convaincre ceux qui savent toutes choses bardés de diplômes et exerçant leurs pouvoirs sur les sociétés et les hommes. Ceux là,nous aurons du mal à leur demander de regarder plus simplement les éléments de la vie organisée. Certains répliquent : «  Ni Dieu, ni Maître ! ». Pour eux ,toute idée d'une Création sur Terre doit être repoussée. A partir de là,ils raisonnent sans autres données que leurs propres analyses. Le même homme ne voit rien de sacré autour de lui et il peut, à sa façon, à sa manière,tout transformer selon ses vues et plans développés. L'humain va dans les lieux de culte ,mais ne croit plus par sa foi et son regard envers la vie. Alors, il agit comme un prédateur, celui qui prélève et ne se retourne pas.

Certains hommes sont encore conscients de cet ensemble superbe et d'une fonction supérieure équilibrante.Ces équilibres sont obtenus par le premier règne sur la planète. Dorénavant, il nous faut prendre en compte la nature comme une dynamique globale de toutes le vies assemblées et lui donner en sa consistance aménagée sur Terre sa force supérieure envers ses satellites. Tous ces éléments assemblés apparaissent des le début des premiers végétaux. En effet, une grande chaîne unit le monde végétal au monde animal, puis à l'homme. A partir de là, nous sommes en une modification active et permanente. Chacun y appliquant son impact conscient ou bien inconscient. Il apparaît qu'en fin de lignée ,le monde végétal regroupe les diverses facettes et en fait un monde bien particulier. En réalité,les animaux,les insectes;les oiseaux et les humains sont très dépendants de la vie végétale même. Nous avons tendance à considérer comme primaire ce qu'il y a autour de nous et pourtant c'est loin d'être le cas. IL faut être conscient que nous portons une âmes et que celle-ci s'impose à notre corps et fait de nous des êtres de toute éternité. Mais cela appartient au monde biologique et n'a que peu d'incidence sur celui spirituel. Notre marche biologique est très complexe ,mais c'est elle qui entretient la vie. A partir de l'écosystème général et global nous naviguons et modifions trop souvent les paramètres. Notre avenir de construction citadine fait que nous nous sommes éloignés des réalités planétaires. Nous nous en apercevons quand les éléments extérieurs se fâchent et nous appliquent parfois leurs déchaînements non mesurés.Nous pensons que nous sommes les plus forts et robustes,mais nous nous trompons. Nous croyons en nos technologies ,mais elles ont leurs propres limites. Nous devons vivre en équilibre avec l'ambiance terrestre issue des écosystèmes globaux et faire en sorte que nous n'heurtions pas le grand système.