LA PAUVRETE DU MONDE

La vraie pauvreté est celle des esprits qui fuient du regard la misère ambiante. C'est celle de ceux qui exploitent les autres à travers leurs intrangisances. ils s'appuient sur des règles qui refusent d'accepter l'autre comme un frère ou une soeur. Pour eux,c'est oeil pour oeil et dent pour dent et rien n'y déroge. Etre sous leurs ordres est plus que pénible car ils n'ont pas d'égards envers un humanisme ,celui qui met avant tout les coeurs  en leur vaillance.

Ces gens qui n'ont de coeur que leur service comptable et l'argent construisent un monde de désolation ,repoussant ceux qui ont besoin. Un jour ou l'auttre,nous avons tous besoin d'une main secourable et d'une écoute attentive. Avec l'argent ,il ont accéléré le temps et il n'ont plus la sérénité pour écouter les autres leurs raconter les défaillances. Repousser les autres en la paupérisation est un crime contre autrui et ne pas essayer de réparer le lien entretenu par la vie est également grave. Ils autorisent la société à se détourner de la pauvreté et font pour qu'elle soit acceptable et admise pour tous. Ce sont des manipulateurs et au lieu d'aider celui qui se retrouve face à cette  misère,ils font comme s'ils étaient irresponsables.Chacun est responsable de ses actions. Celui qui perd son emploi  et n'a que peu d'argent devant lui, est obligé de partir en des zones où l'élémentaire  est déjà un luxe. Manger, dormir , avoir son toit,garantit un bien être à sa famille, élever dignement ses enfants se trouve être au dessus de ses forces. Dans une société où tout se sait,il est triste de constater pareille dérive et mésaventure. Les associations carritatives prennent en main ceux qui sont en le désarroi et la misère. Mais, elle ne vont pas plus loin que remplir ce rôle. L'homme ou la femme ou la famille doivent pouvoir retrouver une dignité. Il faut donc qu'il y ait une seconde phase d'aide après que la première ait donné le gôut de revivre.

Chaque pays  devrait avoir honneur de ne plus compter de miséreux en ces rangs et faire en sorte que les institutions aillent vers eux. Il nous faut des lois définissant les phases du rattrapage,mais surtout un regard sur les causes de tant de désarroi. Il est devenu nécéssaire ,voire obligatoire de partager nos richesses produites. Il devient urgent d'établir un revenu universel pour garantir aux malchanceux qu'ils seront épargnés par cette misère ambiante. Pourquoi ceux qui ont tant ne veulent pas partager ? Parce qu'ils sont pour l'affrontement de l'homme contre l'homme afin de créer une émulation. Ceci est une forme d'esclavage déguisée dite des temps modernes. Ainsi  personne ne s'émeut des situations catastrophiques entrainant les hommes vers la misère et ses bas fonds.

Nous venons de changer de politique et nous verrons bien s'il il y a un autre horizon. Ce sont surtout les grandes cités qui sont concernées ,mais rien ne dit que ceux qui n'ont plus rien ne se cachent pas afin d'isoler leur détresse. Un gouvernement qui ne s'attache pas à juguler la pauvreté de son peuple doit céder sa place car lutter contre la misère est une grande priorité.

Chaque pays,mais aussi le gouvernement de l'Europe n'est pas exempt des actions humanistes. Sans cela rien ne va en la communauté. Financièrement ,il s'agit d'une grande priorité qui a obligation de soutien des tous les pays européens. Ce n'est pas pour autant que chaque pays doit se dédouaner de ses obligations et responsabilités car nous assistons parfois à " Ce n'est pas moi,c'est l'autre ".

La société se prend en main avec les associations et le bénévolat ;mais en même temps les dirigeants font l'impasse sur les aides nécéssaires. Ils attendent que le peuple prennent sa misère en main. C'est le cas ,mais les causes profondes sont aucunement traité. Que les gros revenus lèvent le doigt et fassent preuve d'humanisme. Nous avons un devoir républicain d'assurer la fraternité,l'égalité et la liberté. Ces trois éléments sont constitutifs d'une meilleure société  s'ils sont actifs et non détournés de leur sens. Au peuple d'y veiller par l'intermédiaire de sa structuration sociale en retrouvant une dignité parfois bafouée et oubliée.