L'ALTERATION DU PERENNE I

Vous allez dire que j'emploie des mots en l'artificialité. Oh ! que non ! Chacun de ces mots a un poids immense sur la vie même structurée , en sa durée avec la relation planétaire. Je veux m'expliquer ,ici, sur le pourquoi il faut mettre la valeur de l'argent en d'autres places que celles dominantes,objectif des sociétés. Pourquoi dire cela, alors que la communication avec ces valeurs sont répandues en tous lieux planétaires ? La première observation,le constat maître est qu'en globalité ,il s'agit universellement parlant d'une valeur sans vibration en l'esprit, ou bien peu ,sans vibrations cosmiques et galactiques ,sans respect de notre belle planète et son coeur qui bat pour nous en d'autres valeurs plus fortes et sures en un relationnel de la vie cosmique et universelle. Bref, nous ses enfants, en notre passage obligatoire et en la matérialisation ,avons le devoir sacré du respect.

Les valeurs que nous avons installées étaient en une admissibilité quand nous avions harmonie en nos actions générale sur la planète. Le raisonnable employait l'énergie planétaire  fournie au plus près de sa source existante. L'énergie biologique tout simplement. Quand le laboureur basait son labeur sur l'énergie lente vraie, harmonieuse avec notre Terre-Mère,il se satisfait avec sagesse d'une surface cultivée et du respect animal fournissant l'énergie propre développée en " Joules". Un boeuf est lent,mais aussi fort afin d'éffectuer un travail,le cheval également , l'âne et le mulet, etc. . . .

La production est moins forte que celle produite par le machinisme ,mais la terre vivante reçois en ses amendements matière naturelle pour la nourrir,doser sa fécondité en ses offrandes. Ainsi, nous faisions un cycle en harmonie profondes avec notre berceau planétaire. Nos valeurs argents étaient secondaires et leur existence dépendait d'un étalonnage avec une autre valeur pérenne basée sur ce socle produit. Le blé, le riz,le vin,le poisson,le travail de l'homme en sa sagesse unifiée et partagée en était base fixée. Ce que nous n'avions pas imaginé ,c'est la déraison ,la folies des grandeurs,des forces du paraître,de l'agressivité des meilleurs. Nous avons perdu nos repères progressivement pour bâtir hors des valeurs vraies et respectueuses. Nous avons perdu la sagesse et les connaissances agronomiques simples ,mais nécéssaires en le relationnel vibratoire. Nous nous sommes perdu nous mêmes et nous avons offensé l'universalité,mais avant notre planète Mère nommée et appelée en les premiers temps Gaïa . Elle est notre coeur vibrant et elle nous aime. En n'ayant plus de repères avec notre Mère qui nous fournit corps, nourriture,beautés des yeux,satisfaction de l'esprit, enfin la pureté accompagnatrice de celui qui a créé, Dieu lui-même et son Amour et bonté pour ses enfants.

La pensée artificielle a déferlé et l'homme raisonnable,de bon sens,sage et réfléchi a été dévalué. Nous changions d'ère après un conflit immense où pour sauver une humanité regroupée en champ de bataille,il fallut en l'urgence donner aux hommes de paix en la terreur,une force conséquente et universelle, l'atome et son nucléaire redoutable. C'était le prix de la délivrance contre l'obscurantisme,nous ramenant à la barbarie structurée. Mauvaise période pour l'Esprit qui dû lutter contre le mal bien plus fort qu'il ne le pensait. C'était à ce prix qu'en les années 1950 ,le monde se basait sur d'autres valeurs. Celles de nos constructions de nos villes agrandies ,de nos développements industriels et commerciaux,de notre regard sur la route d'enrichissement par la matière même hors des sagesses. Il a fallu,pour ce ,déplacer la valeur de l'argent étalon et du blé sacré à la construction et son indice. L'après 1950 vit fleurir un développement formidable en construction de tous genres. Génial cette libération de la raison sage disent certains. Oui ! On peut le voir ainsi,mais c'est également une descente vers les enfers et ses portes grandes ouvertes. Plus de valeurs concrètes,plus d'agronomie,plus de sciences sylvestres,moins de communication sur la vie entre les hommes. Le rocher de la connaissance se dressant ,nous vîmes arriver un autre monde ,celui des savoirs essentiels ,dispersé en ses bases reconnues sur diplômes mettant à la place du sentiment noble, sage , pérenne,la déraison ,le grandiose de l'orgueil d'un monde refoulant ses bases précédentes. L'homme entrant en une agressivité continue pour ses frères afin de devenir le meilleur,même en exploitant comme l'esclavage l'avait fait. Le monde qui s'afférait se dessinait,s'activait ,possédait des qualités permettant matérielement de construire plus ,pour donner plus  en dimensions. Nous perdions de ce fait un contact indispensable avec tout le relationnel planétaire , nous donnant en la pédance et les vanités.