CHIMIE ET COMPAGNIE

Ce sont des termes qui recouvrent une bonne partie des désherbants utilisés en agriculture. Celui qui semble le plus doux en sa matière active se trouve être le glyphosate. Beaucoup d'agriculteurs ,de forestiers,de jardiniers l'utilisent car un mois après son emploi,on peut semer ou planter de nouveau et il aura détruit ,au préalable,toutes les mauvaises herbes. Par contre,on ne pense pas à l'effet rémanence car on croit qu'elle n’existe pas . Grave erreur car sa présence en les sols se confirme bien au delà de nos analyses. Les nouvelles plantes semées ou bien implantées le captent avec leurs matières nutritives. Il s'installe donc en la végétation en imbibant les tissus. Ceci paraissait impossible,mais on vient de découvrir sa présence au sein d'aliments divers récoltés. Du blé aux lentilles,il sait désormais conquérir le monde végétal actif et il imbibe également le consommateur du bout de la chaîne. Nous n'avions pas pensé pareille possibilité ,mais il faut réviser notre connaissance. Nous ne pensions pas à une rémanence si importante ,mais c'est une grande erreur car beaucoup de ces produits employés savent, aujourd'hui, conquérir les plantes initiales et les infester par un taux de matière active très mesuré,mais bien présent. L'autre jour, les services audiovisuels ont montré ses capacités sur les plantes prêtes à être consommées. Nous pouvons en déduire que nous empoisonnons ainsi notre corps et déréglons nos cellules,ce qui peut créer chez nous des cancers.

Il y a lieu d'être prudent avec cette chimie déployée et cesser nos utilisations afin de rendre plus sure la chaîne alimentaire. Quant à ce désherbant précis,il est très répandu et on aura du mal à éradiquer sa présence. Autrefois, le désherbage se faisait manuellement et aucune chimie n'intervenait. Disons, qu'aujourd'hui, nous considérons ces phases comme un progrès et une innovation. Nous devons être très prudent avec la marche naturelle et sa propre dynamique entre ses divers éléments. Les rémanences sont les plus dangereuses car elles imbibent de nombreux tissus et milieux au niveau de la nutrition. De nombreux produits sont en ce cas et il nous faut trouver de toute urgence un produit inoffensif pour les plantes récoltées. Faute de faire évoluer positivement notre comportement ,nous allons progressivement empoisonner tous les herbivores et à savoir si la chaîne complète n'est pas atteinte avec les viandes imprégnées des animaux d'élevage. La lutte doit être drastique et doit faire en sorte que nous sortions de ce piège que nous tend la chimie non éprouvée. Le fait de faire l'expérience sur les populations ne montre pas le sérieux apporté à la recherche même. Longtemps, nous avons pensé que les différentes chaînes ne pouvaient être touchées.

Un autre point à vérifier se situe avec la dioxine,puissant poison qui provient des incinérateurs de déchets pour la transformation. Les fumées,après être allées faire un tour en la stratosphère sont rabattues vers le sol au moment des pluies. L'herbe des prés finit par être imbibée et les vaches,moutons et tous les herbivores , en les mangeant , s'empoisonnent et fournissent un lait infesté. On y retrouve des traces de dioxine et c'est fâcheux. A une époque,nous y veillons , mais maintenant nous sommes certainement guéris de ces affres. Globalement, voici comment nous nous empoisonnons à petit feu et créons en notre corps les conditions d'un dérèglement cellulaire. Eh oui,il faut bien manger quelque chose et nous devrions être plus rapide en les détections fiables. Le maniement de l'infiniment petit se doit d'être effectue avec beaucoup de prudence pour ne pas dérégler la belle machine de la vie.