MALTRAITES PAR LA SOCIETE,

Quand on est dans la pauvreté sur que nous allons vers une maltraitance de la société. Plus d'argent, plus de toit, un relationnel qui s'épuise,une nourriture difficile d'accès et c'est le développement d'une galère. C'est une misère qui touche des couples entiers , mais surtout des femmes et des enfants. Il est inadmissible qu'en notre temps des personnes aient à subir pareille frustration, alors qu'une grande partie de la société et se retrouve à l'aise. Tout est conditionné par l'argent et son manque constitue un rejet de la société structurée et organisée. A l'intérieur de cette même société se trouve ceux qui sont bien à l'aise et ont un rôle de locomotive. Oui, mais en arrière de ce décor,des gens galèrent pour rester dignes. L'ambiance économique crée sa sélection et peut faire peur à ceux qui ont du mal à joindre les deux bouts. Nous n'en avons pas terminé avec ce phénomène dit de paupérisation qui se rapporte à ce fléau. Nous regardons cela en spectateurs lointains, mais le fait de ne pas le vivre nous décale de cette tragédie. Nous y voyons des femmes en la rue qui subissent des atteintes qui s'y développent. Des enfants sont atteints également et subissent du coup des mauvais traitements ,chacun devant manger à sa faim.

Pourquoi notre société est-elle si distante de cette réalité ? Et bien , parce que nous sommes en l'indifférence , une indifférence coupable qui ne veut pas lutter contre cette misère. De tout temps,il y a eu un éloignement de ces états car c'était simplement la faute à pas de chance. Terribles déductions qui ne font aucunement avancer le problème vers sa résolution.

Il me semble que c'est un état qui pourrait trouver son épilogue si nous veillons sur les équilibres sociaux dus à l'argent ambiant. Il serait utile que chacun en la grande pauvreté puisse trouver un bien être en recevant un salaire dit universel. A partir de là, des solutions existeraient et rentreraient en l'applicable. C'est aux collectivités et aux agglomérations de communes de veiller sur l'état ambiant citoyen. Oui, mais ces structures sont trop occupées à se définir leur propre survie car elles sont devenues des entreprises. Leur premier devoir est donc la réinsertion des citoyens tombés en cette galère pour que perdure une ambiance correcte.Il s'agit, pour l'ensemble des structures de faire un effort et privilégier certaines missions allant vers les administrés. Pour ce faire, il faut créer des priorités et les appliquer au détriment de d'autres moins urgentes. Après cela , il reste les mouvements charitables qui ne peuvent se développer pour devenir de véritables institutions. Les associations n'ont pas vocation à juguler la misère et c'est pourtant ce qu'elles font avec grand mérite. Pendant ce temps là , l'officialité prend ses distances et porte cet état de pauvreté vers les plus pauvres,ceux qui sont en passe de devenir miséreux. Donc , il y a un dégagement des responsabilités et tout le système est traité comme s'il ne concernait que certaines personnes et pas les autres ,celles qui sont les moins à l'aise.Oui, on donne avec le cœur , mais ce n'est pas aux institutions de dire vers où vont les dons généreux des administrés.