SOCIOLOGIE . . .

IL n'y a pas en le monde d'importantes variantes de nos sociétés. Ceci rejoint l'état des civilisations en leur développement continu. Les pays industriels ont formé leurs sociétés bien souvent basées sur la contrainte des humains. Ils n'ont pas hésité à regrouper de nombreuses personnes en leurs logements dits de loyer modéré. Le tout étant dans l'exploitation de la main d’œuvre car l'homme a pris l'habitude d'utiliser ses semblables pour des taches collectives et individuelles. En échange , il est présenté des formes de plaisirs pour en détendre les esprits. L'ambiance obtenue est des plus sombres et le jeunesse finit par s'y étioler et ruiner ses espoirs en un avenir florissant. Un bonheur existerait-il en dehors de ces assemblages à première vue dans l'incorrection . Ici, c'est la nocivité de la cité qui s'exprime et qui ne peut s'étaler dans le bien être du peuple rassemblé. IL faut savoir , que le fond de l'homme a tendance à s'exprimer en ce qu'il y a de bien et de mal. Les regroupements deviennent des poudrières où le bien est nécessaire et le mal doit y être repoussé. Trop de gens ne rêvent que de ces assemblages leur paraissant unique et constructeur d'un bonheur finalisé. En bonne société, ces regroupements présentés comme incontournables n'ont plus l'appui nécessaire que leur apporte une vie saine, sereine et non dans la promiscuité. L'homme est-il fait pour vivre en le regroupement faisant de lui un simple élément d'un grand ensemble , je ne le crois pas . Toute l'expression portée doit trouver sa consécration en une vie expressive ne présentant pas de lacunes allant vers les déviances et le mal développé . En mettant beaucoup d'individus ensemble , nous construisons une ambiance où parfois le mal l'emporte sur le bien et ce n'est que peu admissible .

Sous ces formes plurielles, le fond de l'homme s'exprime plus volontiers et prend différents aspects. Il est important que cette expression soit en le bien et évite le mal. Nous ne pouvons pas éviter les dérapages dus aux rassemblements sous toutes les formes , ainsi vit la cité dans sa plus grande vitalité. Plus encore, nous avons désormais différentes communautés qui cherchent à s'intégrer à la nôtre en la mesure du possible. Tous ces différents groupes se satellisent afin de trouver une entrée en le vaisseau mère représenté par la société initiale et principale. Les résultats sont parfois encourageants et deviennent métissage de notre société. Devant le front des migrations , nous sommes en l'obligation d'accueillir ces peuplades qui quittent sans regrets leurs pays originels.

Une majorité de ces personnes s'installe en les cités ou en formant des bidonvilles et où les marchands de sommeil sont rois. Dans tout cela, tout est brassé et chacun quel que soit sa nationalité et ses coutumes est prié de s'intégrer.

Nous le voyons, notre civilisation de base européenne se trouve parfois submergée par ces mouvements et devra , à l'extrême, laisser place à une métissée de l'intérieur. Le principal continent qui s'avance est l'Afrique car celui-ci n'arrive pas à retenir une grande partie de ses enfants . On peut faire ici le procès des événements , mais rien ne fera car en d'autres temps nous avons voulu apporter des directives à certains pays en utilisant un colonialisme structuré et politisé. Cette introduction trouve aujourd'hui une retour en la résonance qui met nos pays industrialisés et dominants en l'obligation d'accueillir les enfants qui sont un peu les nôtres.

Nous devons savoir que la société n'est pas que citadine mais également rurale. Su ce point , nous sommes en la désaffection des ambiances campagnardes.

Même maintenant , c'est un espace qui se vide et il ne plaît qu'aux citoyens fatigués des espaces citadins. Pourtant, la campagne et sa nature vive offrent et apportent à l'homme une ambiance propice à sa méditation et analyse sur lui-même. A une période , allaient vers la ville, les enfants de la ruralité et c'est par eux que la grande cité s'est construite.

IL nous appartient de vivre nos différentes constructions qui fabriquaient à la longue nos formes de civilisations. Les différents ensembles mondiaux ont tendance à se définir dans des états semblables quel que soit le milieu et la région du monde.

Les technologies et leur développement sont aussi à la base des formes de sociétés obtenues. Sauf les peuples d'Amazonie et ceux des zones aborigènes nous ne connaissons plus de variations sociétales et civilisatrices .

Toutes ces sociétés ont leur propre dynamique et elles ont tendance à être hégémonique avec les autres qu'elles rencontrent. Tout se transforme donc et permet de changer les habitudes afin d'y mettre de nouvelles donnes , bonnes ou mauvaises, il faut s'y faire car il n'est pas sure que nous dominions ces mouvements parfois plus puissants que nous l'analysons.

Rien à faire , le monde nous entraîne avec ses éléments vers des espaces encore vierges et qu'il sera bon d'occuper.Le tout est de satisfaire mentalement et spirituellement les prochaines générations qui vont naître par un bien être acceptable.