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Je vous présente aujourd'hui un de mes article écrit en septembre 2012. Je le remets au goût du jour car il me semble que le mot partage doit entrer dans une phase active . Vu l'impact de huit milliards et demi de population, il devient nécessaire de tenir fermement les rênes de l'attelage . A l'époque de mon écrit , nous en étions à sept milliards d'individus et en quelques années la multiplication a opéré. Heureusement , la Terre comporte deux tiers d'eau pour un tiers de sol ou lieux habitables.

Le genre humain a bien défini l'occupation des territoires , en majorité du côté de l'Asie et de l'Inde . Ce sont ces deux continents qui se sont éveillés à la société et à la civilisation les premiers . Mais aujourd'hui, nos territoires ne sont pas vierges et beaucoup de sols ont été foulés, parfois surexploités par l'agriculture .

En tous lieux, les territoires se remplissent et les humains occupent rapidement les cases écologiques libres lui convenant . Dorénavant, nous devons veiller à ne pas entrer dans une famine générale et il devient urgent de gérer au plus près des productions à flux tendus . Chacun doit manger à sa faim ! Les énergies utilisables sont peu nombreuses et notre cher pétrole va certainement s'épuiser avant cinquante ans . Le fonctionnement intime contenant une partie de l'apport extérieur énergie va s'amplifier .

L'environnement global est déjà très sollicité et ce sera toujours en conquête des espaces naturels . Les densités de populations de plus en plus importantes font disparaître les autres espèces car leurs espaces vitaux se rétrécissent sans cesse. Enfin, l'enjeu majeur porte sur les équilibres en fonction des zones habitées . Dans les grandes cités , l'absence des forces de vie ne renforce pas le sentiment de délicatesse. Les habitants , dans les loyers modérés dominent probablement en zones urbaines .

Quand nous approcherons d'une population humaine d'environ dix milliards d'âmes , nous devrons être particulièrement prudents et avoir le sens des solidarités , des partages. La Nature et sa réelle fragilité apparaîtront dans leurs expressions superficielles, mais elles pourront entraîner des violences et un manque de stabilité sur le temps relié aux saisons.

Nous devrons faire très attention aux vies nous accompagnant et notamment dans l'infiniment petit aux virus unicellulaire et ses mutations adaptations. Il est démontré que plus les populations d'une espèce augmentent et atteignent des densités importantes , les virus se renforcent et finissent très souvent par l'infiltrer, la décimant en des temps records .

Les goûts humains pour les nouvelles sciences militaires et les technicités en innovation nous empêchent sur ce point de développer un esprit d'espérance et de paix totale . Aux frontons de nos enseignements il sera nécessaire de rappeler ce que l'homme est et pourquoi la vie a grande importance avec le travail des consciences , des âmes et esprits reliés. Après le passage dans le physique ici-bas , tout se transforme en lumière définissant un avenir au monde se trouvant dans un chaos originel au sein de l'Universel.

L'homme est donc un agent de la lumière et l'éveil des consciences et des âmes sont les biens les plus précieux. Admettre nos populations en grande quantité et densité représente une tolérance et un grand partage de la vie elle-même, pour qu'un maximum d'Esprits puissent accéder aux lumières durables et éternelles.

Tag(s) : #Ames et Esprit, #Ecologie, #Humainement vôtre, #La conscience, #Nature, #Sociétés et civilisations, #fonctionnement intime
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