L'EUTHANASIE . . .

Nous sommes en une période où les hommes cherchent leur conscience. Ils finissent par nier son existence et ils commettent des actes contre nature . Aussi, ils n'ont plus d'arrêtoir pour supprimer la vie , celle-ci étant si précieuse . Ils détruisent la vie en la période prénatale et maintenant veulent la détruire sur les fins d'existence . Oui, tout cela sous couvert d'aléas sociaux. Le premier cas repose sur le manque de disponibilité de la maman en sa gestation. Le second , lui est défini selon la bonne ou mauvaise santé de la personne. Ceci soulève de graves cas de conscience sachant que l'absolu en la vie appartient à Dieu. C'est lui qui fixe si le bébé ou fétus sera viable et l'état de santé d'une personne atteinte par la vieillesse ou bien l'accident ou maladie. Dans la première phase, le problème semble pouvoir se solutionner car s'il y a bonne santé de la mère et du futur enfant , les conditions positives sont réunies pour laisser la vie éclore . Pour le second cas , les personnes dans l'entourage de celle concernée donnent leur avis et peuvent influencer le débat. De ce fait , nous ne sommes pas sures d'établir une décision juste et correctement appliquée. Il y a ici un grand et grave problème car personne ne peut décider pour Dieu sur la suite à donner. Les hommes , du début à la fin doivent s'en remettre à notre Créateur et le laisser définir sa stratégie , sans forcer le passage.

Les humains veulent se définir dans la totale indépendance et ignorent les règles d’existence d'un Dieu bien présent en nous et avec nous , mais dans la discrétion . Ces décisions sont placées sur des bases en l'irrespect total de la vie avancée et fixée.

Les pouvoirs humains ne doivent pas empiéter sur les décisions divines ou bien sur celles inhérentes à la Nature et son organisation de la vie .

Les dirigeants des pays, au sommet des États , ne doivent pas légiférer pour ouvrir toutes possibilités en la matière . Ils doivent garantir à la vie un bon déroulement. Toute autre position semble indélicate et inappropriée . Des débats seront organisés mais ils conforteront les avis d'une position favorable.

Cette position donne aux médecins en général , un accès aux décisions essentielles sur la vie des patients . Bien sure , après que soit mise en place des garde-fous pour éviter les dérapages.

Dans les cas de santé arrivées aux extrémités et dans la grande souffrance des êtres , une décision pourra se prendre et sera il sera nécessaire d'établir un comité d'éthique et nul ne devra pouvoir le franchir.La politique s'emparera certainement de ce dossier qui est en soi un encombrant.

Souhaitons que l'Esprit des hommes s'éclaire et les assure de sa clairvoyance . Que l'Esprit Divin pardonne ces écarts comportementaux.