ECOLOGIE-ENVIRONNEMENT ET LE POUVOIR

Comme nous le savons tous , les partis politiques verts ont parfois accès aux responsabilités gestionnaires et aux moyens d'organiser une protection officielle de notre environnement commun.

L’Écologie pure et dure n'est pas en phase avec la démocratie vibrante ,mais avec les forces installées dans le péremptoire. Pour aborder un tel sujet ,il faut d'abord garantir la démocratie citoyenne même et nos avancées sur notre liberté et notre cohésion sociale avant tout. C'est pour cela qu'en 2005, j'ai fait paraître un ouvrage qui considère que nous ne pouvons pas faire d'écologie en son application sans être unie avec la sociologie et l'humanisme. Ce qui nous donne un livre intitulé : «  Si nous parlions sociologie, humanisme et écologie . » J'y fustige le genre d'écologie qui cible l'autre pour le contraindre et seulement l'autre à qui l'on reproche son existence .La haine et l'agressivité doivent s’effacer au bénéfice de nos constructions communautaires. Mais attention , toutes étant relatives en environnement , la contrainte du citoyen de base ne doit pas avoir le même impact , par rapport aux groupes puissants constitués. Il faut être très circonspects avec ce maniement car toutes les couches de la société n'ont pas un impact identique. Exister a forcément un impact au sein de l'environnement car c'est la matière qui nous fournit et entretien nos corps. Notre respiration produit du co2 et ainsi nous sommes des êtres polluants. Il faut donc légiférer pour arrêter toutes les atteintes à notre environnement.Mais ,dans le secret des bureaux officiels surgissent des propositions de lois sur notre existence et placée dans une philosophie de contrainte en mettant en avant la devise : «  pollueurs, payeurs jusqu'au niveau basique des sociétés ». Si par culture , par origines et par comportement philosophique je suis pour un respect de nos équilibres environnementaux, je n'admets pas la forme décrite plus haut d'écologie basée sur la contrainte totale citoyenne en instituant contrôle et versement d'argent. Récemment , sur ce sujet , j'ai reçu un avis de passage contrôle avec paiement obligatoire de l'action de service effectuée alors que je n'avais rien demandé .Actuellement , c'en est ainsi ,nous nous regardons tous en « chiens de faïence « et cette organisation fait le forcing pour mettre la vie privée aux normes. C'est à dire lui imposer un contrôle de sa fosse d'aisance et le bon fonctionnement. IL faut donc vérifier la chose car nous polluons tous en allant en ces lieux d'aisance. Tous les cinq ans vérifications payantes imposées. C'est la loi et la loi c'est la loi comme sur le baudrier de notre aimable garde champêtre d'autrefois. L'environnement ne doit pas respecter les espaces privatifs et comme nous sommes tous des délinquants ,nous sommes coupables d’exister en fonctionnement . Je suis d'accord pour que soit organiser de meilleures relations avec notre milieu , mais d'une façon respectueuse de nous tous et sans verser en la contrainte exagérée. Toutes choses étant égales, il faut légiférer contre les risques nucléaires et chimiques ou militaires mettant la vie en danger et l'environnement encore bien plus car pétrifié pour de très longues durées. Toutes choses étant égales , il faut être juste et la loi doit y être dans son application. Le riche et le pauvre doivent être égaux , mais le faible et le puissant également , donc toute loi et son application et conséquences dans ce créneau dans un esprit philosophique. Non , mais ici nous n'y sommes pas et nous sommes des cochons de pollueurs. Et ,il y a urgence de nous le faire payer . Bien sûr, celui qui rejette toutes ses effluves dans la Nature sans au préalable y faire de traitement , cela est punissable. Il faut en bonne intelligence bien y regarder car je connais des organisations officielles qui immergent des produits très nocifs au fond des mers sans problèmes. Je connais une chimie sélective des plantes appliquée par l'agriculture. Je connais des canalisations activées en rejet allant dans les eaux des rivières, des lacs , des mers et océans. Je connais des moteurs polluants . Je connais des applications militaires potentiellement destructrices de toutes vies . Mais je connais également le pouvoir institué des hommes pour leur dominance totale sur les autres.Je connais l'absence de goût pour le respect du prochain et du citoyen. Je connais les paroles leitmotiv de la société qui nous arrive en nous déclarant en toute chose que nous sommes des commettants et délinquants . Je connais des personnes que l'on culpabilise et ce ne sont pas celles qu'il faudrait toucher réellement. Je connais des politiciens et des décideurs jusqu'au niveau local pour qui l'environnement est une affaire de gros sous uniquement. IL faut faire payer le citoyen et après améliore-ton le fonctionnement réel ? Je connais cette forme péremptoire d'imposer comme en régime dictatorial et totalitaire.

J'en connais qui vont perdre leur libre arbitre et leur propre liberté. Je connais des professions inadaptées dans l'officialité et qui devront louvoyer pour conserver leurs prérogatives. Je connais notre démagogie placée dans le paraître dominant , mais négligeant le principal. Je connais l'impossibilité officielle de faire réellement de l'environnement par le biais d'une connaissance supérieure du fonctionnement interne des écosystèmes et de leurs dynamiques avec production de biodiversité.

Peu importe le baudrier et sa loi sont venus me visiter et m'ont établi créances sans que j'ai à me justifier. Ici, en Gaule ,c'est comme ça et pas autrement . Nous matons les maîtres à penser et nous imposons les solutions à tous les problèmes . Délinquants et commettants levez-vous ! Ce genre de démocratie peu vibrante me rappelle un certain esprit dans ma jeunesse me jetant en pâture à des personnes disant : - «  Nous, nous formons des hommes et des vrais. Les grands , les irréductibles , les rebelles nous les cassons et les mettons aux pas ! Garde à vous et finit la gaudriole. »

Certains s'avancent en disant : «  c'était le bon temps où il ne fallait pas penser soi même et chercher à comprendre. Nous étions égaux par le bas car ici il le fallait dans cet esprit c'est toujours le plus grand nombre qui se place en l'irrespect. Puis les paroles résonnent en disant : «  Silence sur les rangs ! » Oh, c'est charmant et nous voilà bien parti pour une période de franche camaraderie. A suivre pour tout citoyen emprunt d'une qualité de sa société et dans sa culpabilisation existentielle forcée.