SOMMES-NOUS PRISONNIERS DES MACHINES ?

A première vue , nous ne pensons pas être tributaires des machines et d'un progrès sans âme. Pourtant,les exemples ne manquent plus qui font ressortir notre grande dépendance. En tous pays , les dirigeants développent des politiques qui font passer l'intelligence artificielle avant celle des hommes. C'est une véritable catastrophe qui se prépare et qui fera et fait déjà de nous des aliénés. Des aliénés par la pensée qui devient secondaire par rapport à celle machine qui manage tout l'ensemble. Progressivement se crée un véritable esclavage qu'il faudra bien un jour expurger de nos vies. Nous devons nous attendre à posséder en notre corps une ou des puces électroniques pour nous suivre et nous identifier immédiatement. Ce serait la pire des choses qui nous rendrait dépendant à 100%. IL nous faut lutter contre ce processus qui ferait de nous des marionnettes. Le plus grave est que la machine contient toutes les données nous concernant et elle les transmet immédiatement aux autres machines. IL n'y a donc plus de protection individuelle et tout devient une grande promiscuité.

Par ailleurs, les robots commencent à sévir et notamment sur les routes avec les radars piégeant les automobilistes et faisant encore de nous de véritables pantins.Rien à faire, ils remplacent les hommes assermentés pour relever les infractions. Ce sont des pièges tendus qui divisent la société en deux parties avec d'un côté ceux qui détiennent les machines et s'en servent pour piéger leurs semblables et ceux qui sont piégés et ne peuvent s'en libérer sauf avec argent et parfois perte de leur permis de conduire. IL s'agit,ici, de l'acte du piégeur et nous sommes la bête qu'il faut traquer. Nous n'avons donc plus d'humanité et les rapports humains sont en train de se dégrader rapidement. Si cela persiste,il faudra que le peuple se fâche et finisse par reprendre ses droits ,ceux de la dignité et d'un humanisme bienveillant. Plus, certains de nous perdent la faculté d'aller et venir et sont privés parfois de pouvoir vaquer à leurs occupations de vie : famille,travail, etc. . . . En accentuant la répression sur la voiture ,les dites autorités se déconsidèrent et font que trop de répression tue la répression. Au train où nous allons ,nous déboucherons sur un espace dictatorial ,si ce n'est déjà fait. Personne s'en inquiète , mais il faudrait bien que l'on soit réaliste et lucide sur cet ensemble. Rien à faire,ceux qui dirigent sont entêtés et impossible de faire marche arrière. C'est une situation qui va progressivement attirer la violence. Le plus triste ,c'est que cela fera un appel du sang. Cet espace d'interdiction constante finit par définir sa philosophie régnante en une dictature non dévoilée. Nous ne serions plus en liberté réelle, mais en liberté sous conditions et surveillée. Nous devons faire très attention aux dérapages entraînant un désordre à partir duquel nous aurons du mal à corriger les effets. A ce titre de quoi sera fait demain,si nous dressons une partie de la population contre l'autre. IL faut croire qu'en haut lieu ,les autorités ont perdu le sens de la raison et ne savent aucunement doser leurs mesures de commandement. Sans cette logique pensée et philosophique ,nous allons entrer en des grands dérèglements car l'argent ne guérira pas le peuple blessé de ces situations excessives. Les grands élus dont le rôle de veille est primordial deviennent inopérants et n'ont guère de possibilité de changer le cours des choses. Cela veut dire que notre constitution est obsolète et ne représente plus grande valeur sur les devises dites républicaines.

On peut penser , aujourd'hui, que la république et ses forces nombreuses de sécurité compte sur ces dernières pour mater le peuple au cas où celui-ci deviendrait agité et menaçant.

Nous avons accumulé un tel potentiel répressif nationalement , mais aussi localement, que toutes répliques du peuple devient risquée et débouche vers la grande violence. Nous devons entrer en la grande réflexion sur le respect dû au peuple car c'est lui qui possède le mot de la fin en sa grande dignité et sagesse. Nous devons impérativement nous en rappeler.