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En France, nous ne connaissons pas cette taxe et c'est bienheureux. Depuis la fin des régimes royaux,il n'y a plus de paiement en les villes. Nous avions les droits suivants : taille, gabelle, octroi et c'est ce dernier qui visait la taxe à la venue en ville. Cela a été supprimé et il ne faudrait pas recommencer pareille application. S'il en était ainsi, ce serait taxer sur beaucoup de points les citoyens. L'aller et le venir doit être libre et il en résulte une question de liberté. Les gens qui pensent taxer ont également en l'idée de vérifier les déplacements des autres. Oui, cela est possible par le biais des plaques d'immatriculation. L'homme n'a qu'une idée, épier et taxer son voisin. Que celui-ci soit libre n'est pas très normal pour eux. Le constat est inquiétant et fait preuve d'un sens intolérant vis à vis des autres. Nous sommes en une société qui se plaît à surveiller des fois que quelqu'un cacherait quelque chose d'illicite ou se permette des fantaisies avec le droit en cours. Ainsi, il ne règne pas beaucoup de confiance entre-nous,ce qui fait une société dressée et confiscatoire en beaucoup de points.
L'idée de faire payer les entrées des villes est une pensée très restrictive se basant sur l'argent et faisant en sorte que ceux qui n'en ont pas restent sur les périphéries. En instituant ce système nous favorisons le riche et repoussons le pauvre. IL est vrai que les voitures deviennent engins peu appréciés des ambiances urbaines. Quoi que l'on fasse , nous sommes en train de déterminer une société pour les riches et une autre pour les pauvres.Par ce fait,il faudra aller en ville par les transports en commun ou bien laisser son véhicule aux périphéries. Lors de nos voyages , le franchissement des entrées des villes ne sera plus possible. Il faudra fixer à quelle importance de cité s'y appliquera la mesure.
Dorénavant, tout est fait pour que nous abandonnions notre voiture car devenue trop onéreuse pour les personnes aux revenus moyens. D'avancées en avancées , nous mettons en place une sélection importante par le monde de l'argent. Avec toutes les taxes se reliant à l'automobile ,nous devrons laisser ce cher engin sur le côté ou dans son garage.
Nous serons très bientôt dans un univers uniquement relié à l'argent et faisant de ceux qui n'en ont pas des exclus malchanceux,mais également malheureux. Nous avions basé notre société sur les bases de l'existence voiture,mais nous voyons que cela ne tient plus debout. Pourtant celle-ci favorise les rapprochements sociaux. Le cercle ambiant que nous avons établi se resserre et nous recale sur des positions bien avant les années 1950, avant que l'automobile ne se développe. Nous devrons bientôt rentrer dans nos coquilles comme le fait l'escargot. Ceci va stratifier une société qui se croyait intouchable de par sa dynamique. Nous verrons bien où cela nous conduit.